Pour la presse, la fête des travailleurs c’est… le 30 avril !

N’essayez pas de joindre un journaliste de presse quotidienne papier le 30 avril*… C’est son 1er mai à lui !

Plusieurs raisons à cela :

1/ Les marchands de journaux sont fermés

2/ Les ouvriers du livre sont très syndiqués et tiennent à leur fête des travailleurs.

3/ Si les journaux ne sont pas imprimés et les marchands de journaux fermés, la chaîne de distribution qui travaille dès potron-minet n’a pas lieu de se lever.

Pour au moins ces trois raisons, les journalistes de presse écrite papier sont de repos 24 heures avant les autres… pour mieux être sur le pont le 1er mai.

Bonne fête des travailleurs à eux !

*pour les journalistes web et audiovisuels en revanche, le 1er mai reste le 1er mai.